Marcher en pleine conscience établit une connexion à soi qui libère l'amour. Trouve plus de joie, éloigne le stress, améliore ton bien-être et transforme ta vie, simplement en marchant !

Derrière les préoccupations et le stress quotidien, tout au fond de nous, il y a un océan de joie.

Marcher vers soi c'est un espace que j'ai créé dans lequel on apprend à utiliser la marche pour se retrouver, se reconnaître, se rencontrer soi-même et se réempuissancer en décuplant les bienfaits de la marche. Ça donne un sens nouveau et nourrissant à la marche, qui permet de voir que derrière le stress quotidien, les préoccupations et les soucis, tout au fond de nous, il y a UN OCÉAN DE JOIE.

Marcher devient un plaisir, un moment précieux, un besoin, une occasion de réveiller notre intelligence, de refaire notre énergie et d'élever nos vibrations. Marcher devient une occasion de dézoomer, de faire le vide dans nos têtes occupées et d'établir une connexion à soi qui ouvre sur le monde. C'est une occasion de se calmer, se ressourcer en présence et en pleine conscience. 

Cela permet de construire des repères sûrs et durables, peu importe ce qui se passe autour de soi. Cela permet de libérer les tensions dans notre corps, de se réajuster et de transformer nos états d'esprits limités en ressource et possibilités nouvelles. 

Nous utilisons l'intelligence du corps pour transformer nos vies de façon authentique et naturelle, avec attention et bienveillance. Tout se fait en marchant, avec de l'air nouveau et un horizon hors des murs. C'est un chemin d'exploration et de découverte de soi qui privilégie le jeu plutôt que l'obligation de réussir, qui allège le coeur et redonne au marcheur, sa puissance d'être humain. 

Bienvenue sur le grand chemin,
le corps au grand air, les deux pieds dans la vie!

Marcher vers soi et s'ouvrir au monde avec authenticité : nos outils.


Marcher vers soi t'amène dehors ! Nos outils allient l’activité physique et le plein air, la conscience et la connaissance de soi : 

La marche afghane : connaitre cette technique de marche inspirée des grandes traversées de désert est une ressource inestimable pour construire sa forme, sa force, sa santé et son mindset. Elle régénère le corps en entier, que la marche soit dynamique, athlétique ou plutôt méditative. Elle a un impact direct sur la qualité des pensées, qui deviennent plus agréables, stimulantes, inspirantes, etc...

Elle développe aussi la présence à soi. Elle soutient, prépare et dispose  à la rencontre avec soi-même en réunissant 3 conditions essentielles:
- Un haut niveau d'énergie
- Une attention pointue
- Un esprit calme et détendu

La marche perceptive : elle permet de reconnecter avec soi-même et canaliser l'énergie dans son corps plutôt que la disperser  dans des pensées, souvenirs, tracas, ou autres distractions. C'est un véritable ressourcement qui repose la tête et les pensées, qui permet de dé-stresser, de dé-zoomer, de faire le plein d'énergie et de reprendre confiance en ses capacités.

E
lle utilise la perceptibilité pour rencontrer l’état de son corps dans un processus d’accueil et d’observation qui réveille l'intelligence corporelle. Cela permet d’avoir une compréhension tactile de son état d’esprit, créant ainsi un passage direct entre le conscient et l’inconscient. Il devient alors possible de transformer les aspects limitants de sa vie en ressources et potentiels nouveaux. 

Ces deux façon de marcher se complètent et privilégient un équilibre  corps, coeur et esprit qui a un impact puissant sur la qualité de vie.


Marcher vers soi pourquoi, à quoi ça sert ?

Le monde va vite. Il est facile de perdre ses repères, de s'égarer, de s'oublier dans la famille, les amis, le couple ou le travail. C'est normal de ne plus savoir où on en est, de se sentir épuisé, vidé et de chercher un sens à tout ça sans le trouver... Marcher vers soi, ça sert à revenir au centre de soi, à se repositionner et se redéfinir pour vivre en fonction de ses valeurs profondes.

C'est savoir approcher, rencontrer son corps, l'accueillir et ainsi transformer son état d'esprit limité et inconfortable, avec légèreté, sans pression. Pour le dire simplement, c'est utiliser son corps pour libérer son esprit, sa pensée et sa vie, plutôt qu'utiliser son intellect pour régler ses problèmes. 

La façon dont les déclics se produisent, la façon dont la transformation s'amorce va à l'envers de ce qu'on connait : le corps sait tout. Il est précis et exact. La pensée et l'intellect peuvent mentir, la raison peut nous dévier du chemin qui est sain pour nous. Pas le corps. Il donne toujours l'heure juste et c'est la raison pour laquelle nous abordons son intelligence par la marche, afin de se retrouver, se reconnecter, se libérer et se transformer. 

La marche afghane régénère le corps en entier et ouvre l'esprit sur des horizons plus grands. 
La marche perceptive propulse au centre de soi et ouvre la conscience sur l'amour qui vit derrière les barrières inconscientes. Les deux ensemble défoncent les limites culturelles, sociales, familiales et génétiques pour libérer les ressources intimes à soi-même.
  
Elles sont des outils qui permettent de mieux comprendre sa vie pour mieux la déployer en soi et autour de soi. Elles permettent de retrouver, construire et conserver un haut niveau d'énergie, un souffle fluide et ample, un esprit calme et détendu, un cerveau frais et disponible. Elles permettent de sortir des automatismes pour actualiser sa vie de façon authentique et responsable. 

Elles permettent de cultiver des pensées et des sentiments élevés et d'intégrer dans sa vie des attitudes et des comportements plus justes afin de vivre une réalité plus satisfaisante et agréable. Elles permettent de sortir du contrôle du mental pour accéder à l'intuition, l'inspiration et l'enthousiasme. 

Elles donnent la force, l'intelligence et la volonté d'agir dans le monde avec détermination. L'expérience devient une information vivante qui pénètre le corps, le coeur et l'esprit, redonnant au marcheur sa pleine puissance et un sens à sa vie. 

Les Emails Privés de Marie Jeanne

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Je m'appelle Marie-Jeanne, fondatrice de Marcher vers soi. Le jour où j'ai réalisé que je respirais peu, j'ai réalisé que je vivais petit aussi...

Je marchais comme à l’habitude dans mes rythmes préférés mais ce matin là, je sentais un vide en moi. J'étais inconfortable en dedans... comme si j'avais besoin d'eau ou d'air. Ce n'était pas logique car j'avais une gourde d'eau et je m'oxygénais au grand air frais de l'hiver, avec la marche afghane en plus ! 

Pendant que j'avançais, je me suis approchée de ce vide, je suis allée à sa rencontre et un truc s'est produit dans mon esprit : ma façon de vivre à défilé en image dans ma tête, comme un film. Je me voyais dans différentes situations de ma vie. Je voyais les peurs qui dirigeaient mes comportements. Peur de déranger, de m’affirmer, de prendre ma place, d’être moi, etc… 

Puis j'ai réalisé que tout ça avait un impact sur ma respiration. J’ai réalisé que je respirais exactement comme je vivais. J'ai eu un choc énorme ! Je respirais tout petit alors que j’avais la capacité de respirer beaucoup plus et beaucoup mieux. 

Sur une échelle de 1 à 10, j’étais au 3. C’était juste assez pour fonctionner. Pourtant, JE CROYAIS QUE JE RESPIRAIS BIEN ! Je n’avais pas conscience que je respirais si peu dans ma vie. Je vivais petit, je voyais petit et pire encore, je ne m’accordais pas de voir grand. Je n’y pensais même pas. 

 Comme si quelque chose avait décidé pour moi que je ne pouvais pas voir plus loin, plus grand. L’accomplissement, la réalisation, la réussite, le voyage, c’était pour les autres. Moi j’étais celle qui lisait les récits sans même penser qu’il était possible de construire le mien. 

C’est grave, et en même temps, c’est beau. 
Ce matin là, je devenais consciente d’une partie de moi qui agissait dans l’ombre et qui restreignait le champ de mon existence depuis toutes ces années. Des larmes chaudes coulaient sur mes joues d’hiver pendant que je voyais ma façon d’aborder la vie se dérouler devant moi. 

Puis j’ai eu un déclic. Comme un besoin venant de mon corps. J'ai ressenti le besoin de respirer à plein poumon : 
 – Et si je m’accordais le droit de respirer amplement, maintenant.
 – Et si je remplissais ma capacité respiratoire à 10 sur mon échelle, qu’est-ce que ça donnerait ?

Mon corps avait déjà entamé le pas avant que j’aie terminé ma réflexion. J’inhalais de grandes bouffées d’air de façon compulsive, comme pour rattraper toutes les années derrière. Je respirais de tout mon corps. J’habitais mon souffle ou il m’habitait je ne sais pas. La seule chose qui existait à ce moment là, c’était ma respiration.

Je continuais ma marche, à grand coups d'air et à un moment, j’ai commencé à sentir monter en moi des sentiments élevés comme de la confiance, de la détermination, de la certitude, de la clarté, de l’enthousiasme, de l’inspiration, de la fierté, de la joie. Ça se faisait tout seul pendant que je respirais sur chacun de mes pas. Comme un cadeau de la vie.

Je m’amusais à prendre l’attitude de ces nouveaux ressentis. Et j’aimais ça. Je me sentais une nouvelle personne. Je respirais comme jamais. C’était trop bon. Impossible de revenir en arrière. Mon choix était viscéral. Comme si c’était mon corps qui avait choisi et mon esprit avait suivi le mouvement.  

Je suis rentrée chez moi le coeur plein de joie. Je savais que je venais d’ouvrir une porte de ma conscience qui allait être déterminante pour le reste de ma vie. J’avais transformé les limites posées en moi en ressources et potentiels nouveaux. Maintenant je sais que je vis comme je respire, et que je respire comme je vis. 

Ce matin là, j’ai transformé ma vie. Elle s’est ouverte sur des possibilités que je n’aurais jamais imaginées. Quelques mois plus tard, j’ai fondé Marcher vers soi. Pour aider, pister et partager une nouvelle façon de marcher qui permet d’être plus conscient de soi.

Aujourd'hui, j'ai mon entreprise, je voyage, je m'affirme sans gêne, je partage, j'enseigne, je fais des vidéos, je n'ai plus peur d'être moi, je n'ai plus peur de dire qu'au final, je montre aux gens comment apprendre à s'aimer change la vie de façon naturelle, sans forcer, sans se mettre la pression et sans se prendre la tête.

C'est ça que je partage. Je montre aux gens comment le faire dans un esprit de découverte, de rencontre et d'exploration de soi qui libère un potentiel immense de réalisation et de joie. 

Faisons de la marche un jeu, le corps au grand air,
les deux pieds dans la vie!

Marie Jeanne.